Agility and Energy for success

agility-and-energy-for-success_beandlead

Très en vogue depuis quelques années, l’agilité semble être la bonne résolution pour réussir sa transformation et coller aux besoins de nos clients en 2016. Mais l’agilité d’un business est très liée à l’agilité de ses dirigeants. Tout comme un corps en bonne santé nous permet de mieux gérer notre stress et à rester dans une bonne énergie positive, l’agilité d’un business lui permettra de mieux gérer les changements des marchés, la concurrence, l’évolution technologique etc.
Voici quelques conseils pour vous aider à devenir un expert de l’agilité professionnelle :

1 – Prendre soin de son énergie positive :

  • En prenant soin de notre corps :

Faire du sport, bien dormir, veiller à son alimentation… Facile ! Il suffit de s’écouter, votre corps ne manquera pas de vous faire savoir ce dont vous avez besoin. (Admettons le, au delà du délicieux plaisir coupable, qui se sent bien dans son corps et énergisé après avoir mangé un fast-food ?)

  • En prenant soin de notre esprit :

Je médite une vingtaine de minutes chaque matin et je ne peux que vous conseiller d’en faire autant même si ce n’est que 5 minutes. Si vous avez du mal à vous y mettre, plusieurs applications peuvent vous aider comme headspace, zenfriend, zenfie, petit bambou. Une autre technique : écrire ses émotions négatives et… les jeter à la poubelle (elles l’ont bien mérité).

  • En prenant soin de nos relations

Certaines relations peuvent être complexes à gérer voire purement asymétriques. Concentrons nous plutôt sur celles nous apportant vitalité et optimisme.

Faites vous aider ! C’est fou ce qu’un coach sportif, diététicien, coach ou thérapeute peut vous faire gagner en positivité.

2 – Rebondir et renforcer son storytelling de succès

Ressasser nos échecs et se plaindre régulièrement n’a aucun intérêt (ou pas plus de 10’ par semaine, nous avons notre réputation française à tenir !). Mais partager nos succès avec notre conjoint, nos proches, nos collègues nous réenergisera à chaque fois. Dans mon équipe, nous prenons chaque semaine 10 minutes pour que chacun raconte son succès du moment, énergie garantie !
Nelson Mandela disait : “soit j’apprends, soit je gagne”. Selon la Gestalt, on apprend de toutes les situations, même les plus délicates. Pour cela, nous devons accepter nos échecs comme nos succès et apprendre à se pardonner et pardonner aux autres pour clôturer et avancer. Si des évènements n’ont pas été correctement “bouclés”, ils continuent à polluer notre présent. Boucler ne veut pas dire oublier, rappelez vous, on apprend de tout, mais pardonner permet d’avancer rapidement et de ce concentrer sur ce qui compte : vous — pas la mégère qui se moquait de vous en 4ème.
D’ailleurs, nous les hommes, avons des progrès à faire. En mars 2010, Accenture publiait l’étude “Women Leaders and Resilience” réalisée auprès de plus de 500 cadres dirigeants dans une vingtaine de pays et montrait que la résilience, l’aptitude à relever des défis et à les transformer en opportunité était plus présentes chez les femmes que chez les hommes.

Steve Jobs, comme la plupart des grands leaders, faisait parti des hommes hautement résilients : il rebondit très vite après l’échec de l’Apple Lisa et son licenciement de l’entreprise qu’il avait lui même créée en fondant NeXT. Cette nouvelle entreprise sera rachetée peut de temps après par… Apple qui redonne son poste à Steve Jobs. Les grands projets ne se sont pas faits en un jour, mais souvent après de multiples et douloureux échecs… dont la leçon a été tirée. Pour ça, obligation de reconnaître sa responsabilité et de ne pas (trop) s’appesantir sur les affres du destin.

3 – Développer son agilité

Tout planifier à l’avance dans un monde qui évolue très vite — avec de nouveaux concurrents redoutables qui apparaissent régulièrement — est souvent illusoire et donne de piètres résultats (mis à part pour la qualité de prise de tête et le sentiment d’impuissance).
L’idée de la méthode agile est de réaliser sa vision par des objectifs très court-terme (de l’ordre de une à deux semaines) et de passer rapidement à l’étape suivante en apprenant, avec son client, à chaque itération.
Pour rappel, les principes de l’agilité qui vient de la méthode SCRUM en informatique sont d’accorder plus d’importance :
• Aux interactions entre les individus, plutôt qu’aux processus et aux outils
• Aux livrables fonctionnels, visibles rapidement, plutôt qu’à une documentation exhaustive
• A une relation collaborative avec le client, plutôt qu’à une relation contractuelle
• A la flexibilité́ / l’acceptation des changements, plutôt qu’à un planning rigide
Notez bien qu’il ne s’agit pas de dévaloriser les autres éléments mais les premier ont plus de valeur dans cette méthode.

Aussi, pour développer notre agilité nous pouvons renforcer notre intelligence relationnelle, ouvrir ou réouvrir notre écoute sur nos key stakeholders (clients internes et externes, talents), développer des Labs, intégrer dans nos réseaux des gens réellement différents, intégrer plus de femmes dans nos équipes, plus de diversité !

Aucun résultat.

1 Commentaire. En écrire un nouveau

  • Olivier Winghart
    21 janvier 2016 11 h 40 min

    Magnifique, cet article! Il a attiré mon attention grâce aux deux hommes en costume qui dansaient! Et ‘l’agilité d’un business est très liée à l’agilité de ses dirigeants’: oui, absolument.

    Répondre

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Vous devez remplir ce champ
Vous devez remplir ce champ
Veuillez saisir une adresse e-mail valide.

keyboard_arrow_up